1. Familie Herlin / Heerlien / Herlijn / Herlyn

S. 46 ff "Nicole de Lamiré, fit son testament « gisant au lit malade », le 7 octobre 1581, et là sans doute qu'elle mourut jeune encore. Par ce testament |46j, elle laisse à son fils aîné, appelé Jean comme son père, sa part dans les acquêts de la communauté, notamment le moulin de Selincourt et les terres ajoutées à cette seigneurie, ainsi que celle de Bussy-les-Dours, récemment achetée. Cependant elle n'oublie pas son fils cadet, Gilles, et ses trois filles, entre lesquelles elle partage ses parures : à l'aînée, Marie, son accoustrement de sauteur en jarbe d'or ; à la cadette, Jeanne, celui de perles ; à la dernière, Madeleine, celui de cristal. Je crois qu'il faut entendre par là une parure de tête faisant diadème. L'église Saint-Michel, sa paroisse, les ordres religieux, les domestiques et les pauvres ont part à ses libéralités, notamment la fidèle Marguerite, qui a nourri deux de ses enfants." S. 153 Nicole de Lamire hat ihr Testament am 9. Okt. 1581 verfasst

S. 50 "1° JEAN V l'aîné, qui ne semble pas avoir été marié et qui dut mourir jeune, car en juillet 1596 son cadet Gilles était en possession de sa fortune et avait comme tel à régler certaines dettes avec son oncle Pierre"

S. 51 "GILLES de Sacquespée ... mourut dans cette ville traîtreusement assassiné, en 1611, à la suite d'une misérable querelle de jeu, qui s'était produite au jeu de paume, situé alors en face de l'hôtel de Chepy (actuellement musée Boucher de Perthes). Les meurtriers, trois gentilshommes boulonnois, de Calonne de Courtebonne, du Bosc d'Annebout et de Belloy de Landrethun, furent dégradés de leur noblesse, dépouillés de leurs biens et condamnés à mort. Mais ils ne furent pendus qu'en effigie, ayant réussi à se réfugier en Artois, alors province espagnole."